0 Dans toute relation entre un homme et une femme, c’est, par contrat implicite, la femme qui décide s’il y aura ou non rapport sexuel. Cela concerne à la fois les rapports ponctuels (types coup d’un soir) et les relations sexuelles au sein du couple. Les besoins de la femme en la matière étant inférieurs à ceux de l’homme, c’est elle qui est en position de force, et donc elle qui prend la décision. En règle générale, l’homme est toujours demandeur. A l’inverse, c’est l’homme qui décide si, à la suite de ce rapport sexuel, il y aura ou non relation suivie. Ses besoins émotionnels et relationnels étant inférieurs à ceux de la femme, c’est le plus souvent elle qui est en position de demandeuse à ce niveau, et donc lui qui est en position de prise de décision. Le contrat implicite au sein d’une relation de couple est intimement lié à cette notion d’échange et de rapport de force, chacun ayant la maîtrise de son domaine de moindre besoin : la femme veut de l’engagement dans la relation et offre du sexe en échange ; l’homme veut du sexe et offre de l’engagement en échange. Si ce contrat est qualifié d’implicite, c’est parce qu’il n’est que rarement avoué directement comme tel : la plupart des gens agissent en tous points comme si le contrat existait, sans pour autant avoir conscience de son existence. L’existence d’un tel contrat ne veut pas dire qu’il n’y a pas, en cette matière comme en d’autre, des formes de délinquance relationnelle, c’est-à-dire d’attitudes ou de comportements dans lesquels l’individu fait fi de l’accord implicite (voire de la loi) et ne s’estime pas engagé tant qu’il n’a rien promis explicitement à titre personnel. Ainsi, bien des hommes souhaitent du sexe sans engagement, et bien des femmes souhaitent de l’engagement sans sexe ; en bref : avoir ce que l’on veut sans le payer. La délinquance relationnelle masculine s’appelle le viol, l’agression sexuelle, le harcèlement… La délinquance relationnelle féminine s’appelle la manipulation, l’usage de Chevaliers Blancs et la friendzone. Le viol est puni très sévèrement (et à juste titre) par la loi. En revanche, dans notre système gynocentré, la délinquance relationnelle féminine n’est pas punie. De même, au sein d’un couple, une femme a le droit de refuser d’avoir des rapports sexuels avec son mari, au motif qu’elle n’en a pas envie. Si son époux tente de la forcer à tenir sa part du contrat, elle est en droit de faire appel à la force publique et l’envoyer en prison. Son mari, à l’inverse, n’a pas le droit de refuser de participer à l’entretien financier du foyer, par exemple, au motif qu’il n’en a pas envie. Si sa femme veut le forcer à tenir son engagement, elle peut, là encore, faire appel à la puissance publique. Elle en obtiendra un divorce et une pension, c’est-à-dire la satisfaction de son besoin d’engagement matériel sans aucune obligation sexuelle de sa part, et dans le même temps la ruine de la capacité de son ex-époux à créer de nouvelles relations de couple durables (pas d’argent, pas de couple). Le principe de moindre besoin est un élément essentiel de toute relation, qu’elle soit sentimentale, sexuelle ou amicale : celui qui a le pouvoir sur un aspect donné de la relation, c’est celui qui a le moins besoin de l’autre en la matière. Celui qui est demandeur et dépend de l’autre est toujours le dominé. Illustration : Bart LaRue Déc 14, 2017Martial Partager :FacebookTwitterRedditE-mailImprimerTipeee
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